âïžTu te lĂšves tous les matins, tu tâentraines.
đȘTu as mal, tes muscles te font mal, ton corps a mal. Câest ton quotidien. La douleur tu la connais, tu vis avec. Tu apprends Ă lâapprivoiser pour mieux la contrĂŽler, pour moins la ressentir.
âšTu le fais parce que tu connais ton objectif. Alors mĂȘme fatiguĂ© câest lui qui te fait tenir.
Alors tu recommences encore et encore Ă tâentrainer, câest viscĂ©ral.
Câest objectif tu le vois, comme si tu voulais le saisir. Tu te boostes parce quâon tâapprend Ă ĂȘtre fort et tu dois ĂȘtre fort. Tu ne veux pas te dĂ©cevoir et tu ne veux pas dĂ©cevoir. Tu te relĂšves encore et encore.
đȘTon mental te guide pour passer au-delĂ de la douleur, de ce que tu ressens.
Pour ĂȘtre performant le jour J.
Tu es alors transcendĂ©, bouillonnant Ă lâintĂ©rieur, tu te dis que tu nâas pas fait tout ça pour rien. Câest ta chance.
đLe rĂ©sultat est autre que celui espĂ©rĂ©.
Cela ne devait pas se passer comme ça, alors pourquoi?
Le lien qui unit le sportif Ă son corps est immuable.
Pourtant, le sportif a tendance soit Ă trop lâĂ©couter soit Ă ne pas assez lâĂ©couter. Il a beau faire une bonne prĂ©paration physique, de bons entrainements, de bonnes phases de rĂ©cupĂ©ration, le couac est lĂ : objectif non atteint, blessure, mauvaise performance.
â ïžNotre Ă©quilibre repose sur le triangle de la santĂ© : psycho-Ă©motionnel, biochimique et structurel. Si un grain de sable vient se glisser lĂ -dedans alors le triangle peut sâeffondrer. Et câest lĂ que le couac arrive. Prendre le corps dans sa globalitĂ© sâest accepter aussi lâesprit, câest-Ă -dire le cĂŽtĂ© psycho-Ă©motionnel.
Que tu sois dans le monde du haut niveau ou non, mon rĂŽle est de te permettre de garder cet Ă©quilibre pour Ă©viter les blessures, perfectionner un geste, performer et atteindre lâobjectif.
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